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Le cinéma tunisien brille au festival de Caire

Le cinéma tunisien brille au festival de Caire

Le cinéma tunisien brille au festival de Caire

Le Festival international du film du Caire est l’un des festivals les plus anciens et les plus célèbres du monde arabe et d’Afrique. Le cinéma tunisien a brillé dans cette édition en rapportant 4 prix

Cette 43e édition du Festival international du film du Caire s’est tenue du 26 novembre au 5 décembre tout en respectant le protocole sanitaire.

“Ghodwa “de Dhafer El Abidine remporte le prix ​​de la Fédération internationale de la critique “Semirferid” :

Réalisé par l’acteur et le réalisateur tunisien Dhafer El Abidine, le long métrage “Ghodwa” a été projeté pour la première fois au niveau international dans le cadre du festival. Ce dernier a bien précisé que les scènes de ce long métrage de 96 minutes ont été filmées en Tunisie.

Les événements du film tournent autour d’Habib et de son fils Ahmed âgé de 15 ans. Le passé politique d’Habib pendant les années de dictature en Tunisie affecte son présent. Néanmoins, le garçon est toujours présent pour prendre soin de son père.

Afef Ben Mahmoud remporte le prix de la meilleure actrice pour son rôle dans le film “Atyaf” de Mahdi Hamili dans les horizons du cinéma arabe :

Le long métrage “Streams”, réalisé par le Tunisien Mehdi Hamili, a été projeté pour la première fois au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, également dans le cadre du festival.

Les événements du film se déroulent à Tunis, où Amal est emprisonnée pour avoir été accusée d’adultère. Après sa libération, elle commence un voyage à la recherche de son fils unique, un certain Moamen qui est joueur de football. Dans ce film, on vit l’histoire de cette héroïne qui essaie de se pardonner et de cohabiter avec une société parfois violente.

“Blind Spot” de Lotfi Ashour remporte le prix Youssef Chahine du meilleur court métrage :

Ce film dure 14 minutes et ses événements se déroulent sous le régime dictatorial de Ben Ali.  Le 7 octobre 1991, un homme a été enlevé dans les toilettes d’une entreprise publique. Après avoir été torturé et tué, il a disparu sans être retrouvé. Près de trente ans plus tard, il revient nous parler de son travail.

“A seconde life“ d’Anis Lassoud reçoit une mention spéciale du jury :

Le film “Une seconde vie” traite l’histoire de l’enfant Kadha qui a subi un accident. Il est donc admis à l’hôpital. Sa mère reçoit l’aide d’une famille, qui couvre les frais d’hospitalisation et fournit un logement à la famille nécessiteuse de Kadha. Mais l’enfant connaît un secret qui bouscule la vie de sa famille.

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Mariem Jendoubi
Rédactrice

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